Bar-sur-Aube

Bar-sur-Aube
Bar-sur-Aube
L’hôtel de ville.
Blason de Bar-sur-Aube
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
(sous-préfecture)
Arrondissement Bar-sur-Aube
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Borde (LR)
2020-2026
Code postal 10200
Code commune 10033
Démographie
Gentilé Baralbins
Population
municipale
4 787 hab. (2019 en diminution de 5,77 % par rapport à 2013)
Densité 294 hab./km2
Population
agglomération
5 026 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 54″ nord, 4° 42′ 28″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 348 m
Superficie 16,27 km2
Aire d'attraction Bar-sur-Aube
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Aube
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bar-sur-Aube
Liens
Site web barsuraube.fr

Bar-sur-Aube est une commune française, sous-préfecture du département de l'Aube en région Grand Est.

Ses habitants s'appellent les Baralbins ou Bar-sur-Aubois.

Géographie

Localisation

Située à 165 mètres d'altitude, la rivière Aube et la Bresse sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Bar-sur-Aube[1].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Bar-sur-Aube
Ailleville Ailleville Arrentières
Proverville Bar-sur-Aube Fontaine
Proverville Proverville Fontaine

Climat

La ville de Bar-sur-Aube bénéficie d'un climat océanique. Des averses s'abattent toute l'année sur Bar-sur-Aube. Même lors des mois les plus secs, les précipitations restent assez importantes. D'après Köppen et Geiger, le climat y est classé Cfb. Bar-sur-Aube affiche une température annuelle moyenne de 10,1 °C. Sur l'année, la précipitation moyenne est de 693 mm[2].

Géologie, reliefs et hydrographie

Bar-sur-Aube est entourée de coteaux champenois et de collines. La ville est traversée par l'Aube, d'où son nom.

Urbanisme

Typologie

Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Bar-sur-Aube est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Bar-sur-Aube, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[3] et 5 141 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[4],[5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 43 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), zones urbanisées (10,4 %), prairies (9,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), cultures permanentes (7,1 %)[8].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

Aménagement de l'espace

En 2007-2008, le centre-ville est passé en sens unique, un élargissement a été effectué au niveau des trottoirs. Le tour de ville a été rénové en 2006 tout comme la place de l'Hôtel-de-Ville. La cité scolaire Gaston-Bachelard a été rénovée en 2011. Une piste cyclable a été tracée sur le tour de ville en 2011 et l'ouverture d'un camping à la Gravière donne un attrait touristique à la ville. Un terrain de football synthétique et la réfection des vestiaires du stade sont en projet.

Toponymie

Attestée sous les formes Segessera, Barrisiica, Barris ca, Baro castelli, castelli Baris (monnaies carolingiennes), Barrum super Albam (1061), Castrum Barris montis (1065), Barrense castrum, Barrense oppidum (1097), Barrenses (1102), Barrum castrum super Albam (1104), Vetus castrum, villa Barrensis (1149), Bar-sur-Aube (vers 1200)[10]. Le nom de la ville se trouve également sous la forme Barrum ad Albam dans les archives ecclésiastiques[11].

Du gaulois barro- « tête, hauteur (topographie) , extrémité boisée »[12],[13], comme le montre d'ailleurs le pléonasme [castrum] Barris montis « château du Mont Barre » de 1065.

Au cadastre de 1837 se trouvait : les faubourgs d'Arsonval, Saint-Nicolas, Notre-Dame et d'Aube, Beauvoir, la Bergerie, le Calvaire, le Cellier, la Chalet, Chauvelet, le moulin du Château, celui du Bas, du Haut ; Château-Gaillard, Châtelet, Chauffourt, Coquerillon, Coucelange, la Doué, la Folie, les Gravières, Heaume, Marcassel, Mathaux, Ormont, les ponts Rouge et aux Moines, Sainte-Germaine, Saint-Esprit, abbaye Saint-Nicolas, Temple, Val-de-Thors, Val-Richard, Vaudemont, Voie-Neuve.

Histoire

Antiquité

L'existence de Bar-sur-Aube remonte à l’Antiquité. Un coin monétaire (type au cheval) au nom de Togirix (chef des Lingons) a été découvert sur la colline Sainte-Germaine. Il servait à battre des monnaies.

À l'époque romaine la ville aurait d'après la Table de Peutinger été connue sous le vocable de Segessera (seges, moisson). Louis Chevalier cite également l’appellation Frumentaria (frumentum, blé)[11]. Ces dénominations pourraient provenir de la fertilité du territoire ou bien de l'utilisation de la ville comme entrepôt par les Romains[11]. Un certain nombre de vestiges du Ier au IVe siècle, dont des villas, a été découvert dans la ville et dans les environs. Vicus de la civitas des Lingons, Segessera faisait partie, pendant le Haut-Empire romain, de la province de Gaule Belgique. Elle aurait été rattachée au Bas-Empire romain à la province de Lyonnaise première.

D'après la tradition orale, la ville aurait été dévastée par Attila dont l’action la plus connue fut la décapitation de sainte Germaine ; elle fut enterrée sur la colline qui porte désormais son nom et qui devint un lieu de culte ainsi qu'une communauté villageoise. Après le partage du royaume de Clovis par ses fils, la ville fit partie de l'Austrasie.

Moyen Âge

Sous Charles le Chauve, plusieurs variétés de monnaies furent émises avec au revers le nom de la ville.

Les comtes

Les comtes étaient chargés d'administrer le pagus Barrensis dont Bar-sur-Aube était le chef-lieu. Ce pagus était sous la suzeraineté de l'évêque de Langres. En 889, le roi Eudes avait confirmé, au comte, la possession du castellum, le droit de battre monnaie et de tenir foire[14].

Les Foires

Grâce à la politique des comtes de Champagne, la ville prit une grande importance. Bar était le siège d'une des six foires de Champagne[15], où les commerçants des Flandres et d'Italie s'échangeaient épices d'Orient, soie, textiles et produits bruts venus du nord de l'Europe à la mi-février et à la mi-avril. C'est la période où les comtes abandonnèrent l'ancien château de la motte féodale pour faire bâtir leur résidence en ville[16].régulières dès 1114. En 1160 elle se déroulait sur deux semaines, de la troisième semaine de carême à la quatrième incluse. Devant l'importance qu'elle prenait elle s'étendirent sur une troisième semaine en 1170, puis à vingt-huit jours en 1250[17]. Les intervenants étaient présents de nombreux jours supplémentaires pour le règlement des démarches administratives et commerciales. De plus certaines corporations avaient investi financièrement dans la ville pour ces actions régulières : achats de halles, de maisons comme les drapiers de Châlons, des marchands d'Arras, Bâle, Besançon, Cambrais, Fribourg, Orange, Paris, Valenciennes, Ypres.

Elles attiraient aussi des métiers dérivés comme des banquiers, les Anguissoli qui laissèrent leur nom à la rue des Angoisselles (actuelle rue Mailly), des changeurs...

Le rattachement de Bar à la couronne

Bar-sur-Aube et la Champagne furent réunies au domaine royal à la suite du mariage, le entre Jeanne de Navarre héritière du comté de Champagne et du roi de France Philippe le Bel. En 1318, Philippe V le Long ayant vendu la ville à Jacques de Croÿ, les habitants se rachetèrent et obtinrent que le roi ne puisse plus la vendre ni l'aliéner.

Le Traité de Bar-sur-Aube

Le traité de Bar-sur-Aube fut signé le entre le duc de Lorraine Ferry IV, le comte de Bar Édouard Ier, l'évêque de Metz Renaud de Bar et le sire de Blâmont Henri Ier de Blâmont[18].

Les Hospitaliers

Chapelle templière Saint-Jean.

La chapelle Saint-Jean est une possession des Templiers, puis lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple passe aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Ancien Régime

Lorsque Charles Quint assiégea la ville de Saint-Dizier, les habitants des villages voisins se mirent sous sa protection[20]. La ville souffrit d'une longue peste en 1636[21], qui provoqua l'arrêt de la foire.

Élection (circonscription de l'Ancien Régime)

Pendant l'Ancien Régime, Bar-sur-Aube était le siège d'une élection qui regroupait jusqu'à cent quatre-vingt communautés. Parmi ses présidents, on citera :

  • 1668-1678 : Jean-Baptiste de Coiffy ;
  • 1690 : Claude Chifflet ;
  • 1692 : Jean Bernodat ;
  • 1707-1708 : Charles Chifflet ;
  • 1732-1733 : Didier Mailly ;
  • 1740 -1748 : N. Mailly ;
  • 1776 : Louis-Marie Rétaux.

Elle était aussi le siège d'un grenier à sel[22].

Epoque contemporaine

La Révolution française y fut bien accueillie, les couvents disparurent. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1800.

Vue de Bar-sur-Aube en 1838.

Bar-sur-Aube fut le théâtre d'une bataille à la fin de l'épopée napoléonienne (). En 1862 les fortifications furent démolies, le boulevard du tour de ville se trouve à leur emplacement.

En 1911, la révolte des vignerons opposa les vignerons aubois aux négociants marnais pour maintenir le vignoble dans l'appellation contrôlée « Champagne ».

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

La ville a eu des institutions communales depuis le XIIe siècle. Cette première charte n'eut qu'une courte durée de vie. Une nouvelle charte fut donnée par Thibaut IV en 1230.

Liste des maires avant la Révolution
Période Identité Étiquette Qualité
1179   Roland Truchard    
1186   Anseri    
1190   Guilbert    
1194   Michel    
1197 1198 Erard    
entre 1196 et 1201 Martin    
1203   Jacques dit Ponton    
1231 1232 Emaury    
1233 1234 Gautier fils d'ANseri    
1236   Amâtre    
1236 1237 Geoffroy    
Les données manquantes sont à compléter.

1568 voit l'institution un maître et juge consul qui était élu pour une ou deux années en plus des échevins. Une lettre du roi du 8 janvier 1569 précisait que leurs attributions ne dépassaient pas celles des échevins de Paris[23]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1789   Claude-Laurent Bourgeois de Jessaint    
  1943 Arthur Bureau    
1943 1947 Léon Chevillotte    
1947 1959 Maurice Véchin SFIO Conseiller général
1959 1964 Henry Supper   Imprimeur
1964 1965 Roger Rubaud (par intérim)   Retraité
1965 1971 Claude Pertat   Agent commercial
1971 2001 Jean-Pierre Davot DVD Commerçant
2001 mars 2008 Jean-François Leroux DVG  
mars 2008 2014 René Gaudot[25] PRG  
2014 en cours Philippe Borde LR Fonctionnaire, Président de la Communauté de communes depuis 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

Jumelages et partenariats de Bar-sur-Aube.
Jumelages et partenariats de Bar-sur-Aube.
Ville Pays
Wappen Gernsheim.png Gernsheim Flag of Germany.svg Allemagne

Le , la commune célèbre un « jumelage militaire » avec le 1er escadron du 5e régiment de dragons de Mailly-le-Camp[26].

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2019, la commune comptait 4 787 habitants[Note 3], en diminution de 5,77 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 652 3 665 3 707 3 503 3 890 3 940 4 169 4 163 4 442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 781 4 727 4 809 4 453 4 521 4 579 4 636 4 342 4 548
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 587 4 507 4 533 4 074 4 313 4 264 4 002 3 921 4 387
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 801 6 008 7 265 6 943 6 707 6 261 5 510 5 492 5 345
2014 2019 - - - - - - -
5 014 4 787 - - - - - - -
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Bar-sur-Aube accueille deux écoles maternelles : maternelle Gambetta et maternelle des Varennes, trois écoles primaires (Arthur-Bureau, Maurice-Véchin, Sainte-Thérèse, privée d'enseignement catholique), la cité scolaire Gaston-Bachelard située sur la colline Sainte-Germaine qui accueille environ 1 200 élèves venant de tout l'arrondissement. Elle comporte un collège, un lycée d'enseignement général et technologique et un lycée professionnel.

Le collège[31], constitué de 19 classes réparties sur les quatre niveaux, propose aux élèves les options latin dès la 5e, grec en 3e. C'est le seul collège en France à proposer dès la 3e une option « cinéma-audiovisuel ». Une section football est disponible pour les collégiens et les lycéens.

Vue depuis la cour du lycée.

Le lycée d'enseignement général et technologique[32], constitué de 14 classes réparties sur les trois niveaux, propose les filières suivantes : S (scientifique), L (littéraire), ES (économique et social) et STMG (sciences et techniques du management et de la gestion). Il propose également l'option « cinéma-audiovisuel » de la seconde à la terminale. Les langues étrangères enseignées sont l'allemand, l'anglais et l'espagnol. Les cours se déroulent en groupes de compétences et non en classes entières. Chaque année, des voyages scolaires sont organisés en Allemagne, Écosse et Espagne. En 2013, un échange avec des lycéens d'Ashburn (États-Unis) a débuté. Les lycéens français sont partis en février, les lycéens américains seront accueillis en 2014.

Le lycée d'enseignement professionnel constitué de six classes réparties sur les trois niveaux, propose à ses élèves les filières commerce et électrotechnique.

Santé

Le centre hospitalier Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube, ayant en 2018 une capacité de 190 lits et places, dont[33] :

  • Médecine : 8 ;
  • Moyen séjour : 22 ;
  • Long séjour : 30 ;
  • Hébergement : 130.

Sports

  • Sports de la ville de Bar-sur-Aube[34]

Économie

Industrie

  • L'industrie du chanvre est très développée à Bar-sur-Aube, et connaît une croissance soutenue depuis plusieurs années.
  • La fabrication de meubles : Aube Bedding (groupe Adova).
  • La transformation des métaux (forge, usinage) pour l'aéronautique, l'armement, les machines agricoles, la médecine (prothèses), etc. : Lisi Aerospace.

Agriculture

Halles.

Bar-sur-Aube est le premier producteur français de paille de chanvre (125 tonnes/j), et de nombreux produits dérivés du chanvre y sont fabriqués.

Autour de la ville se trouvent de nombreuses vignes, spécialisées dans le champagne.

Lieux et monuments

Le moulin des Marcasselles et les clochers de l'église Saint-Maclou.

Des visites guidées de la ville sont organisées, sur demande à l'Office de tourisme.

Bâtiments et lieux publics remarquables

Sont classés monuments historiques :

  • un immeuble, 79 rue Nationale[35] ;
  • un immeuble, 4 rue Saint-Pierre[36].

Sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques :

  • le Petit-Clairvaux, cellier du XIIe siècle[37] ;
  • la médiathèque Albert-Gabriel des XVIe et XVIIe siècles[38] ;
  • l'ancien couvent des Ursulines, devenu l'Hôtel de Ville[39] ;
  • un immeuble, 1 petite rue Saint-Pierre[40] ;
  • la maison des Trois Tours[41] ;
  • l'ancien « Hôtel du Grenier à sel » (Sous-Préfecture)[42] ;
  • deux maisons, 33[43] et 44[44] rue d'Aube.

Autres monuments :

  • les Halles ;
  • l'ancien hôtel Clausse de Surmont (La Poste) ;
  • le moulin du Haut, dit des Marcasselles.

Bâtiments religieux

Église Saint-Pierre.
Église Saint-Maclou.

Sont classés comme monuments historiques :

  • Église Saint-Pierre (XIIe siècle) avec son halloy, une galerie en bois qui servait aux marchands au temps des foires[45].
  • Église Saint-Maclou (XIIe et XIVe siècles) dont le clocher est le seul vestige du château des comtes de Champagne, détruit après la Ligue sur ordre d'Henri IV. Fermée au public[46], elle est en cours de restauration.
  • Un ancien prieuré du XVIe siècle[47].
  • Hôtel de sous-préfecture de Bar-sur-Aube.
  • Hôtel des comtes de Brienne (Médiathèque Albert-Gabriel)

Autres monuments :

Institutions

Bar-sur-Aube dépendait du diocèse de Langres. Elle était le siège de l'archidiaconé du Barrois, qui comprenait les diaconnés de Bar, de Châteauvillain et de Clermont. Le doyenné de la Chrétienté était le plus étendu du diocèse, avant la refonte de 1737.

Anciens prieurés

Bar-sur-Aube comptait quatre prieurés :

  • le prieuré Saint-Maclou ;
  • l'abbaye Saint-Nicolas, qui abritait un hôpital au début du XIIe siècle. Son cimetière avait été consacré par Guillenc, évêque de Langres, à la demande du pape Innocent II. De retour d'un voyage à Worms et Spire, Bernard de Clairvaux y célébrait la messe le . Mais le comte Thibaut IV de Champagne et l'évêque de Langres Robert de Thourotte relevèrent son proviseur Robert et y nommèrent Alix, sœur de Thibaut : Saint-Nicolas devenait ainsi une abbaye féminine. En 1436, l'évêque Philippe de Vienne la transforma en prieuré masculin placé sous la tutelle du Val-des-Écoliers de Laon. Le , le prieuré fut réuni aux bâtiments qui faisaient office de maladrerie ou de léproserie. Sa fonction d'hospice, qui s'était poursuivie, fut supprimé en 1734 et le prieuré fut peu à peu démantelé ;
  • le prieuré Sainte-Germaine, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude, nommé pour la première fois en 1407 dans une donation de feue Adélaïde, comtesse de Bar-sur-Aube, comme prioratus santi Stephani, santi Stephani et sancte Germane, montis Bari, montis sancte Germane, cella sancte Marie de Monte super Albam[48]. Son siège se situait dans l'église Sainte-Germaine. Il percevait plusieurs bénéfices : celui de la sacristie, indépendante jusqu'en 1772 ; celui de la chapelle de Vaudrémont ; le droit de pêcher dans l'Aube sur tout le finage de Bar-sur-Aube ; l'exclusivité sur les moulins à blé et à drap. Parmi ses prieurs, on retient :
    • ~1033 : Étienne, aussi prieur de Bar-sur-Seine puis abbé de Bèze,
    • 1072-1075 : Robert de Bourgoigne, archidiacre, futur évêque de Langres,
    • ~1704-1728 : Olivier-Cernin Ninon de la Forêt, prieur de Saint-Pierre,
    • 1728-1729 : Henri de Carbonnière, archidiacre et prieur de Saint-Pierre,
    • 1729-1737 : Jean de Carbonnière,
    • 1737-1791 : Louis de Carbonnière, prieur de Saint-Pierre ;
  • le prieuré Saint-Pierre, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Claude.

Musées

Aux environs :

Autres

La chapelle Sainte-Germaine.

Environs

Culture

Héraldique

Blason Bar-sur-Aube.svg

Blasonnement des armes traditionnelles de la ville de Bar-sur-Aube :

« D'azur, à une bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices d'or potencées et contre-potencées. »

— Malte-Brun, la France illustrée (1882)

Ce blason est en fait celui du comté de Champagne. La banque du blason donne le blasonnement suivant : parti, au premier de gueules au bar d'argent, au second d'azur à la bande d'argent, accostée de deux cotices potencées et contre-potencées d'or ; au chef d'azur chargé de trois abeilles volant d'or

Manifestations culturelles et festivités

Bar-sur-Aube et alentour- Détail d'une carte d'état-major datant de Napoléon.
  • Foire aux fromages en juin.
  • Festival Eurythmies, fin juin.
  • Festival « JazzàBar », début septembre.
  • Marché tous les samedis matin sous les halles, sur la place de l'hôtel de ville et dans la rue Nationale.
  • Fête patronale aux Rameaux.
  • Foire annuelle, premier week-end de septembre.
  • Balade gourmande champenoise en mai.

Personnalités liées à la commune

  • Jean-François Armand[50] ( - Bar-sur-Aube † - Gravières (Aube)), polytechnicien (X 1808), ingénieur des Ponts-et-Chaussées, député de l'Aube (1837-1848).
  • Bertrand de Bar-sur-Aube, trouvère du XIIIe siècle.
  • Gaston Bachelard naquit le 27 juin 1884 à Bar-sur-Aube au numéro 59 de la rue nationale[51]. Il est l’un des plus grands philosophes français du XXe siècle. Sa fille Suzanne qu'il éleva seul après le décès prématuré de son épouse fut une philosophe et mathématicienne renommée. Elle le rejoindra en 2007.
  • Armand Beauvais, peintre rural (1840-1911).
  • le comte d'Empire Jacques Claude Beugnot (1761-1835).
  • Gaston Cheq, sauveur du vignoble aubois, né le 14 janvier 1866 à Bar-sur-Aube.
  • Alexandre Du Sommerard, archéologue né à Bar-sur-Aube en 1779, mort à Saint Cloud le 19 août 1842, créateur du musée de Cluny (Paris).
  • Maurice Emmanuel, musicologue et compositeur français né à Bar-sur-Aube en 1862 et mort à Paris en 1938.
  • Albert Gabriel, architecte, spécialiste d'Anatolie, professeur au Collège de France et à l'université d'Istanbul (1883-1972).
  • Tina Jolas, traductrice et ethnologue française (1929-1999), née à Bar-sur-Aube, qui fut l'épouse d'André du Bouchet puis la compagne de René Char.
  • Adine Joliveau de Ségrais (1756-1830), née à Bar-sur-Aube, poétesse et fabuliste française.
  • Franceschi Louis-Julien dit Jules, sculpteur français par naturalisation (né à Bar-sur-Aube le 11 janvier 1825, décédé à Paris le 1er septembre 1893).
  • Charlemagne de Maupas, préfet de police de Paris, un des artisans du coup d'État du 2 décembre 1851.
  • Nicolas Métru, compositeur natif de Bar-sur-Aube et actif à Paris au milieu du XVIIe siècle.
  • comtesse de La Motte, instigatrice de l'affaire du collier de la reine.
  • Marinette Pichon, née le 26 novembre 1975 à Bar-sur-Aube, ancienne footballeuse française qui a joué pour le F.C.F. Juvisy et en équipe de France de football (jus. 2006, 112 sélections et 82 buts).
  • Henri Philbert (1826-1876), ingénieur des Ponts et Chaussées et mathématicien, né à Bar-sur-Aube le 19 avril 1826, décédé à Vitry-le-François le 2 décembre 1876[52].
  • Louis Marc Antoine Rétaux de Villette, faussaire impliqué dans l'affaire du collier de la reine.
  • Jacques Sevestre (1908-1940), Commandant en second du sous-marin Narval, Mort pour la France le 15 décembre 1940 au large de Sfax, Compagnon de la Libération
  • René Bondoux (1905-2001), champion olympique d'escrime et résistant.

Notes et références

Notes

  1. Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
  2. La notion d'aire d'attraction d'une ville a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

Références

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Voir aussi

Bibliographie

  • L. Chevalier, Histoire de Bar-sur-Aube, 1851, réédition Les Éditions du Bastion, 1984.
  • Henri d'Arbois de Jubainville et Léon Pigeotte, Histoire de Bar-sur-Aube, sous les comtes de Champagne, 1077-1284, Auguste Durand, , 164 p. (lire en ligne).
  • Charles-François Roussel, (abbé), Le Diocèse de Langres. Histoire et statistique, 1878.

Articles connexes

  • Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube

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