Le Trait
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Le Trait | |||||
La mairie. |
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Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Patrick Callais 2020-2026 |
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Code postal | 76580 | ||||
Code commune | 76709 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Traitons | ||||
Population municipale |
4 876 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 278 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 29′ 19″ nord, 0° 48′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 117 m |
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Superficie | 17,52 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Le Trait (ville isolée) |
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Aire d'attraction |
Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Barentin | ||||
Législatives | 5e | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
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Le Trait est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
Description
La commune se trouve sur la rive droite de la Seine, en bordure de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier.
Elle fait partie du Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
Le Trait est reliée à Rouen et au Havre par la route départementale 982.
Le pont le plus proche permettant de traverser la Seine est le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux. Le bac le plus proche est celui de Yainville mais il existe aussi celui de Duclair.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumièges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Le Trait est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Trait, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 942 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,9 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), eaux continentales[Note 8] (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), terres arables (2,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia parrochialis de Tractu et Yenvilla ou Ecclesia de Yeinvilla et Tractu en 1462[24]; Le Trait Yainville en 1648, 1704, et 1715; Le Trait en 1757[25].
La paroisse était ordinairement appelée Le Trait Yainville. Au point de vue civil cependant, le Trait dépendait de Caudebec et Yainville de Rouen. En 1790, elles forment deux communes du district de Caudebec-Yvetot[25].
François de Beaurepaire suggère d'expliquer ce toponyme par le latin trajectum « passage d'eau »[26], comprendre gallo-roman *TRAECTU. La forme moderne trajet (traject XVIe siècle, le trajet [« la traversée »] d'une riviere) est un emprunt à l'italien tragetto, influencé par le latin classique trajectus de même étymologie[27]. Le terme gallo-roman a aussi été emprunté par le germanique et on le retrouve comme appellatif toponymique sous les formes -tricht ou -trecht (Pays-Bas, Allemagne), par exemple dans Maastricht (P-B, [Ad] Treiectinsem [urbem] vers 575, Treiectensis en 634, Triecto, Triectu au VIIe siècle), Maas- désignant la Meuse, d'où le sens global de « passage d'eau sur la Meuse » ou Utrecht (Rheno Traiectum, puis Ultraiectum)[28].
Histoire
- Présence préhistorique attestée dans la forêt.
- Place forte au Moyen Âge, son château fort surplombant la Seine a été délaissé par ses propriétaires, les comtes de Maulévrier (titre alors appartenant à la famille du Fay), au profit d'une nouvelle demeure, le château du Taillis, à la Renaissance. Le château est toujours visible mais désormais situé sur la commune voisine de Duclair.
- Bombardement du chantier naval par des Boeing B-17 Flying Fortress le ; le 4 août et le [29], le 25 juin, et fin août 1944[30], le chantier est à nouveau bombardé.
- En lisant le texte ci-dessous, largement inspiré du livre de Maurice Quemin, Le Trait berceau de 200 navires. Que sont-ils devenus ?, vous saurez pourquoi.
Ancien relais de poste du XVIe siècle, Le Trait, jadis village rural, a été pendant un peu plus d'un demi-siècle une cité industrielle et prospère. Au début du XXe siècle, le modeste village d'environ 400 âmes somnole en bordure de forêt avec la Seine comme décor et seulement traversé par un passage important reliant les abbayes de Saint-Wandrille et de Jumièges. Dès 1917, Le Trait, dont la population se compose exclusivement de laboureurs, pêcheurs ou bûcherons, va subir une transformation importante et devenir une ruche industrielle dont le nom va pendant plus de 50 ans rayonner dans le monde entier grâce à ses navires-ambassadeurs. En effet, au cours de la Première Guerre mondiale, le ministre de la Marine marchande, redoutant la pénurie de navires, s'intéresse à la construction navale et Le Trait, compte tenu de sa position géographique, retiendra l'attention des bâtisseurs qui dès 1916 transformeront la petite commune rurale en une ville champignon. C'est alors que commencera le recrutement de la main-d'œuvre. De Dunkerque à Nantes en passant par Brest, arriveront des professionnels, et de nombreux étrangers polonais, tchécoslovaques, yougoslaves, italiens, etc. s'installeront au Trait y faisant souche pour la plupart. De 1 800 habitants en 1926, la population s'accroît à 3 200 en 1936 pour atteindre plus de 6 000 habitants en 1972, date de la fermeture des chantiers navals. Ainsi, pendant plus d'un demi-siècle les chantiers construisent 200 unités d'une très haute technicité pour la Marine marchande et la Marine nationale.
Une cité-jardin y est construite en 1917, avec des maisons de style néo-normand à colombages de ciment[31].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de la Métropole Rouen Normandie
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Distinctions et labels
La commune est classée « trois fleurs » au Concours des villes et villages fleuris[Quand ?].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 4 876 habitants[Note 9], en diminution de 6,14 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
- Les Ateliers et chantiers de la Seine-Maritime ont été actifs de 1916 à 1972, spécialisés en construction navale.
- Le site a été reconverti et produit de nos jours des équipements pour la construction sous-marine pétrolière offshore sous l'égide de TechnipFMC.
- Industrie pharmaceutique (Sanofi Winthrop).
- Zone industrielle du Malaquis.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Nicolas[40].
- Vestiges d'un château fort[41].
- Bibliothèque.
- Conservatoire de musique et de danse à rayonnement intercommunal Georges-Couvez.
- Centre de loisirs Robert-Doisneau.
- Centre social La Zertelle.
- Urbanisation caractéristique : à l'instar des constructions du type « corons » (bassins miniers du Nord de la France), un type d'architecture cité-jardin[42] est notable sur la commune du Trait : les "maisons du chantier", qui ont progressivement remplacé les « baraquements » alors en place à la suite d'un accroissement massif de la population. Dans le quartier de la Neuville, ainsi que de part et d'autre de la voie principale, trois types d'habitations très homogènes ont été construits à l'initiative de la Société des Chantiers du Trait, essentiellement durant la première moitié du XXe siècle, à destination de ses employés. Bâties essentiellement à base de mâchefer et de style "anglo-normand", on dénombre ainsi, par zones urbaines séparées : les maisons dites « des ouvriers » (jumelées, 2 logements peu spacieux, toiture à 2 pans), "des contre-maîtres" (jumelées, 4 logements plus spacieux, toiture à 4 pans), « des ingénieurs » (individuelles), des plus simples aux plus confortables. Ces ensembles forment aujourd'hui autant de quartiers pavillonnaires distincts. Architecte initial : Gustave Majou[43]
- Maison métallique " Fillod " bénéficiant du label « Patrimoine du XXe siècle »[44].
- Monument aux morts dû à Maurice Ringot.
- Chapelle Saint-Éloi.
Personnalités liées à la commune
- Maurice Ringot (1880-1951), sculpteur, y a habité.
- François Duprat (1940-1978) y habitait.
Le Trait dans les arts
Le Trait est un lieu important dans la série audio Le Signe de l’ogre tirée du roman de Julien Lefebvre qui y a grandi[45].
Héraldique
Les armes de la commune du Trait se blasonnent ainsi : Le léopard rappelle les armes de la Normandie. |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Jacques Derouard, Simples notes sur l'histoire du Trait, Le Trait, Groupe archéologique du Val de Seine, 1979
- B. Maheut, « Histoire des chantiers navals du Trait », Musée maritime Rouen, no 7, 1985
- Maurice Quemin (préf. Henri Nitot), Le Trait, berceau de 200 navires, que sont-ils devenus ?, Le Trait, M. Quemin, , 400 p. (ISBN 2-9502241-0-5, OCLC 462156668)
- Paul Bonmartel, Le Trait, cité nouvelle, 1917-1944, 1995
- Paul Bonmartel, Histoire du chantier naval du Trait 1917-1972, 1997
- Paul Bonmartel, Histoire du patrimoine industriel de Duclair - Yainville - Le Trait 1891-1992, 1998
- Gilbert Fromager (préf. Charles Carré), Le Canton de Duclair à l'aube du XXe siècle, Duclair, G. Fromager, , 163 p. (ISBN 2-9501653-0-3)
- Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1)
-
Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 84-93
Sur le chantier naval.
-
Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263 p. (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p. 232-233
Sur la cité du Nouveau Trait.
- « Le Trait », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) vol. 1, p. 448-449
- Mathieu Bidaux et Christian Lebailly, 50 ans de construction navale en bord de Seine : les ACSM et leur cité-jardin (1917-1966), wormsetcie.com, 2017, 374 p.
Articles connexes
- Liste des communes de la Seine-Maritime
- Parc naturel régional des Boucles de la Seine normande
- Ligne de Barentin à Caudebec-en-Caux
- Affaire Jacques Gaimard
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Le Trait sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Jumièges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Trait et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Jumièges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Trait et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Trait », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction duRouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1354, G. 4.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 988.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éd. Picard, 1979, p. 157.
- Site du CNRTL : étymologie de trajet (lire en ligne)
- Gysseling 1960, p. 646-647.
- Gontran Pailhès (préf. Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945, Rouen, Henri Defontaine, , 309 p., p. 168, 172.
- Gilbert Fromager, Le canton de Duclair : 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204 p. (ISBN 2-9501653-1-1), p. 171.
- Luc Le Chatelier, « La cité-jardin a le droit de cité à Elbeuf », telerama.fr, 30 août 2018.
- « Raymond Brétéché », Célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
- « Jean-Marie Aline », Célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
- « Municipales 2020 : le maire du Trait Patrick Callais se présente pour un deuxième mandat : Le maire sortant souhaite poursuivre son action engagée depuis 2014. Il vise un second mandat avec une liste apolitique », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église Saint-Nicolas », notice no IA00021724.
- « Château fort », notice no IA00021723.
- Notice no ACR0000919.
- Gustave Majou (1862-1941) sur CTHS.fr.
- « Maison métallique " Fillod " », notice no PA76000096.
- « Un thriller normand à écouter », Paris-Normandie, (lire en ligne).
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=6056
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