Jacques Massu
Jacques Massu | ||
Croquis de Jacques Massu. |
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Nom de naissance | Jacques Émile Massu | |
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Naissance |
Châlons-sur-Marne (France) |
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Décès |
Conflans-sur-Loing (France) |
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Origine | France | |
Allégeance | France | |
Arme | Troupes de marine | |
Grade | Général d'armée | |
Années de service | 1928 – 1969 | |
Commandement | Forces françaises en Allemagne | |
Conflits |
Seconde Guerre mondiale Guerre d'Indochine Guerre d'Algérie Crise du canal de Suez |
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Faits d'armes |
Forces françaises libres Bataille de Normandie Libération de Paris Libération de Strasbourg Bataille d'Alger |
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Distinctions |
Grand-croix de la Légion d'honneur Compagnon de la Libération Croix de guerre 1939-1945 Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs Croix de la Valeur militaire |
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Autres fonctions |
Gouverneur militaire de Metz Président du Comité de salut public (1958) |
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Jacques Massu, né le à Châlons-sur-Marne (Marne) [actuellement Châlons en Champagne] et mort le à Conflans-sur-Loing (Loiret), est un militaire français. Officier général, compagnon de la Libération et commandant en chef des forces françaises en Allemagne, il s'illustre notamment dans la colonne Leclerc et la 2e DB durant la Seconde Guerre mondiale.
Son rôle dans les conflits coloniaux d'Indochine et surtout d'Algérie est l'objet de controverses historiques autour de la question de la torture, dont il a reconnu l'emploi.
Origines et études
Jacques Massu est né à Chalons-sur-Marne dans une famille d'officiers militaires français[1]. Il fait ses études au lycée Saint-Louis-de-Gonzague à Paris, au collège libre Saint-François de Sales à Gien (1919-1925) puis au Prytanée national militaire (1926-1928) de La Flèche. Entré à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, il en sort en 1930 (promotion Maréchal-Foch) et commence sa carrière militaire comme sous-lieutenant de l'infanterie coloniale dans les colonies françaises du Maroc, du Togo et du Tchad.
Seconde Guerre mondiale
Il est capitaine en Afrique équatoriale, à la tête de la 3e compagnie du régiment de tirailleurs sénégalais du Tchad et de la subdivision militaire du Tibesti, quand il répond à l'appel du du général de Gaulle et rejoint la France libre, aux côtés du gouverneur Félix Éboué en .
Il participe à la bataille du Fezzan avec la colonne Leclerc. Méhariste au Tibesti, il a transformé son « vaisseau du désert » en « pétrolier » pour un rendez-vous de ravitaillement avec les camions de Bagnold du Long Range Desert Group qui prenaient les Forces françaises libres (FFL) de Leclerc comme passagers.
En 1941, il est à la tête du Bataillon de Marche du Tchad et se place sous les ordres du général Leclerc. Comme commandant puis lieutenant-colonel de la 2e DB, il débarque en Normandie le , participe aux batailles du théâtre de l'Ouest européen qui le mène au cœur de l'Allemagne jusqu'à Dachau, où il rencontre Edmond Michelet, détenu dans le camp de concentration. Il avait d'abord participé activement à la libération de Paris en . Il est connu pour être entré le premier dans l'hôtel Majestic, QG de l'administration militaire allemande de la capitale. Entré avec le groupement Langlade par la porte de Saint-Cloud, il remonte l'avenue Mozart et parvient avenue Kléber, tout près de l'Étoile. Il fait prisonnier l'ensemble du personnel allemand présent au Majestic : cinquante officiers et trois cents hommes. Il participe ensuite avec la 2e DB à la meurtrière campagne d'Alsace et à la libération de Strasbourg et de Colmar avec le groupement Langlade.
Guerre d'Indochine et retour en France
En , le lieutenant-colonel Massu est placé à la tête du détachement qui débarque à Saïgon et participe au dégagement de la ville et du Sud de l'Indochine à partir d'. Le , le Viêt-minh d'Ho Chi Minh s'empare d'Hanoï et fait massacrer la population française. À l'issue de laborieuses manœuvres diplomatiques avec le gouvernement français, Ho Chi Minh se rapproche du pouvoir communiste chinois. Le général Leclerc envoie alors au Tonkin le groupement du colonel Massu qui reprend la ville dont les égouts ont été minés ; il inflige de lourdes pertes au Viêt-Minh qui retenait prisonnière la population française. Les troupes Viet-Minhs ne pouvaient alors lutter contre une troupe aguerrie par ses campagnes antérieures, les soldats français ayant pour la plupart déjà combattu au sein des FFL ou de l'Armée de la Libération à la fin de la Seconde Guerre mondiale. L'empereur Bao Daï, à la recherche de nouvelles alliances, aurait demandé au général Leclerc que le groupement Massu fût renvoyé à Saïgon et que le colonel regagne la France[2]. Suzanne Torrès, chef des infirmières « Rochambelles » a eu l'occasion de faire plus ample connaissance du colonel Massu en Indochine. Née Suzanne Rosambert, elle divorce de son premier mari, l'avocat Henri Torrès, et épouse à Paris Jacques Massu en 1948, à la mairie du XVIe arrondissement.
Expédition de Suez
Jacques Massu poursuit en France sa carrière au sein des troupes parachutistes. Il prend d'abord la tête de la 1re demi-brigade coloniale de commandos parachutistes en Bretagne de 1947 à 1949. En 1951, il prend le commandement de la 4e brigade d'AOF à Niamey où est construit sous son autorité, le Fort Massu près de Timia au cœur de l’Aïr. En 1954, il est affecté en Tunisie comme adjoint au commandant de la 11e DI coloniale puis comme commandant de la zone opérationnelle nord, au Kef. En , devenu général de brigade, il commande le Groupe parachutiste d'intervention devenu en 1956 la 10e, connue au sein de l'armée française sous le nom de division Massu ; il débarque le à Port-Saïd (Égypte), lors de l'opération de Suez à la suite de la nationalisation du canal par le colonel Nasser en représailles à l'abandon de financements occidentaux en Égypte. Après avoir pris la ville, il combat aux côtés des Britanniques qu'il rejoint pour prendre Ismaïlia. L'opération militaire tourne court à la suite du rappel des troupes par les gouvernements français et britanniques sous la pression diplomatique conjointe des États-Unis et de l'URSS, via les instances de l'ONU.
Guerre d'Algérie
Il est alors affecté en Algérie, à la tête de la 10e Division parachutiste (D.P.). Le , le Ministre-Résident, Robert Lacoste, confie les pouvoirs de police à l'armée afin de faire cesser les activités meurtrières à répétition du Front de libération nationale (FLN) dans la capitale algérienne. Les attentats du FLN se sont multipliés à fin de l'année 1956 : le au Milk Bar et à la Cafétéria, le , au Palais d'été, à la gare d'Hussein-Dey et au monoprix de Maison-Carrée, le à la Maison des Combattants, à la Pergola et au boulevard de Provence, le , l'explosion d'un car d'enfants, le , l'assassinat d'Amédée Froger, le président des maires d'Algérie. Le début de 1957 n'est pas moins meurtrier: le , explosion du trolleybus d'Hydra, le , attentat de la place d'Isly, le , explosion au restaurant le Joinville, le , bombes aux stades Belcour et El-Biar... Ces actes terroristes visent indistinctement la population algéroise, si bien que le ministre de la Défense nationale, Maurice Bourgès-Maunoury, exige de l'armée française des résultats rapides à partir de . Les quatre régiments de la 10e division parachutiste quadrillent alors la ville, employant les moyens nécessaires pour éradiquer le réseau bombes de Yacef Saâdi, qui trahira ses collègues en révélant les caches de la casbah. Yacef Saâdi, reconverti ultérieurement dans les lettres et le cinéma, se justifiera dans son livre Souvenirs de la bataille d'Alger[3]. Les hommes du colonel Bigeard sont orientés vers plusieurs caches dans la Casbah où ils découvrent 66 bombes, prêtes à être utilisées à l'initiative des collaborateurs de Benkhedda et Ben M'hidi, chargés par le FLN des actions de subversion violentes destinées à terroriser les Algérois. La bataille d'Alger s'achève courant 1957 ; si elle permet à l'armée française d'éliminer le FLN d'Alger et d'y réduire considérablement la fréquence des attentats, elle contribuera à accroître un peu plus encore le fossé entre les populations musulmanes et les militaires français[4] du fait des méthodes employées. Les renseignements nécessaires sont obtenus notamment par Roger Trinquier (théoricien de la guerre subversive dans son ouvrage La Guerre moderne[5]) et Paul Aussaresses. Ce dernier supervise la mise en place du système de renseignement qui n'exclut pas l'usage de la torture et les exécutions sommaires[6]. Le général Massu précise avoir fait sur lui-même l'expérience de la gégène[7] pour en spécifier l'usage aux cas exceptionnels.
Le , des manifestations éclatent en Algérie faisant suite à l'assassinat de trois soldats français par le FLN. Lorsque la foule algéroise envahit le siège du gouvernement général, Jacques Massu est le seul, grâce à sa popularité, à pouvoir se faire entendre de la population européenne. Faute de pouvoir enrayer le mouvement, il en prend la tête et fonde un Comité de salut public dont il est nommé président[7] ; il demande au président René Coty la formation d'un gouvernement de salut public. Cet épisode accélèrera le retour au pouvoir du général de Gaulle afin de mettre fin à la crise de .
En , Jacques Massu reçoit ses étoiles de général de division et prend, en décembre, la tête du corps d'armée d'Alger en exerçant simultanément les fonctions de préfet régional pour l'Algérois.
En , le général Massu aurait émis certaines réserves sur la politique algérienne du président de la République, le général de Gaulle, dans un entretien accordé au journaliste du Süddeutsche Zeitung de Munich, Hans Ulrich Kempski. Bien qu'il démente les propos tenus et la façon dont ils sont reportés, il est rappelé à Paris et sera démis de son poste de commandant du corps d'armée d'Alger par le général de Gaulle. La nouvelle provoque sur place une réaction violente concrétisée par la semaine des barricades à Alger[7].
Il n'approuve pas le putsch des généraux du , mené par le général Challe, le général Jouhaud, le général Salan et le général Zeller, mais le général Massu demandera leurs grâces au président de la République. En , il devient gouverneur militaire de Metz et commandant de la 6e région militaire. Il y retrouve le R.P. Louis Fougerousse (1917-1980), aumônier militaire de la 2e DB.
En , il est nommé commandant en chef des forces françaises d'occupation en Allemagne, en résidence à Baden-Baden. Le , le général de Gaulle vient le consulter en pleine tourmente de . Son rôle politique à cette occasion est essentiel, puisqu'il recommande au président de la République de revenir rapidement dans la capitale et d'éviter tout bain de sang, ce dont le général de Gaulle lui sera profondément reconnaissant. En , il quitte ses fonctions dans l'armée d'active et entre dans la 2e section des officiers généraux.
Jacques Massu et l'usage exceptionnel de la torture : controverses ultérieures
En 1971, le général Massu rouvre le dossier de la torture en Algérie dans son livre La Vraie Bataille d'Alger, dans lequel il écrit notamment : « À la question “Y a t-il eu vraiment torture ?”, je ne peux répondre que par l’affirmative, quoiqu’elle n’ait jamais été institutionnalisée, ni codifiée ».
Jacques Massu a été accusé par d'anciens combattants du FLN algérien, notamment Louisette Ighilahriz, d'avoir donné son aval aux pratiques de torture pendant la guerre d'Algérie et même d'y avoir participé, ce qui est controversé. Dans un entretien télévisé[8], en 1971, il déclare : « J'ai dit officiellement que je reconnaissais l'existence de la méthode et que je la prenais sous ma responsabilité. ». Il ajoute spécifiquement : « la torture telle que j'ai autorisé qu'elle soit pratiquée à Alger ne dégrade pas l'individu. » Il aurait expérimenté la gégène sur lui-même à vitesse réduite, et avait invité ses officiers à en faire de même[9] en limitant l'usage à des situations de nécessité absolue. Le journaliste Jean-Charles Deniau soutient que Maurice Audin, le militant communiste, aurait été exécuté sur ordre du général Massu[10], sans que la preuve ait été apportée. À la question des « disparus » entre janvier et sous la responsabilité des parachutistes français recensés par Paul Teitgen, secrétaire général à la police d'Alger en 1957, Massu répond que ce dernier s'était trompé. La fin de la guerre d'Algérie a été suivie d'une loi d'amnistie pour les actes commis en relation avec cette dernière, qu'ils soient du fait du Front de libération national (FLN), de l'Organisation de l'armée secrète (OAS) ou des militaires français. Cette loi fut encore complétée en 1966, en et en 1982. De leurs côtés, les dirigeants du FLN avaient ordonné, en contradiction avec les accords d'Évian de 1962, la mise à mort de plusieurs milliers de harkis ayant servi dans l'armée française. Selon les estimations du général Maurice Faivre en 1995, les massacres de harkis postérieurs aux accords d'Évian se situerait entre 50 000 et 70 000 personnes (chiffre cité par Pierre Messmer : Les Blancs s'en vont, récits de la décolonisation, Albin Michel, 1978). Les instances du nouveau gouvernement algérien issu de l'indépendance n'ont pas reconnu les décès civils intervenus du fait des attentats en 1956 et 1957 en Algérie.
Le , Jacques Massu a admis les recours, dans certains cas exceptionnels d'urgence, à la torture par la police et l'armée française pendant la guerre d'Algérie. Il précise qu'avec le recul la torture ne lui paraît « pas indispensable en temps de guerre » et qu'on pourrait « très bien s'en passer »[11],[12].
Citation apocryphe
Jacques Massu a parfois eu des relations tendues avec le général de Gaulle, même si les deux hommes se respectaient. À ce sujet, on leur prête cet échange qui se serait déroulé lorsqu'il a accueilli le général à Alger en 1958 ou à Baden-Baden en 1968 :
- De Gaulle : « Alors Massu, toujours aussi con ? ». Réponse de ce dernier : « Toujours gaulliste, mon général ! »
En fait, il n'existe pas de confirmation écrite de ce dialogue, pourtant conforme au style abrupt et direct du général Massu, notamment à l'égard de ses supérieurs hiérarchiques[13].
Retraite
Vivant retiré, à partir de , à Neuilly-sur-Seine, puis dans sa demeure gâtinaise de Conflans-sur-Loing, Jacques Massu veille sur sa famille et se consacre à l'écriture de ses importantes mémoires pour l'histoire de France. Il meurt le à 94 ans et les honneurs militaires lui sont rendus à la chapelle de l'École Militaire de Paris. Il est inhumé au cimetière de Conflans-sur-Loing.
Vie privée
Jacques Massu a été marié à deux reprises :
- en 1948, à Suzanne Torrès, ancienne infirmière en chef des infirmière dites « Rochambelles » de la 2e DB, dont il fait la connaissance durant la campagne d'Indochine[14] ;
- en 1978 à Catherine Drouin, après le décès de sa première épouse.
Il a trois enfants, dont une fille issue de son premier mariage (décédée du vivant de son père), et deux enfants, adoptés lors de son séjour en Algérie.
Carrière militaire
- 1930 : sous-lieutenant à sa sortie de Saint-Cyr
- 1932 : lieutenant
- 1939 : capitaine
- 1942 : commandant
- 1944 : lieutenant-colonel
- 1946 : colonel
- 1955 : général de brigade
- 1958 : général de division
- 1963 : général de corps d'armée
- 1966 : général d'armée
Décorations
- Grand-croix de la Légion d'honneur
- Compagnon de la Libération par décret du
- Croix de guerre 1939-1945 (huit citations)
- Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs (trois citations)
- Croix de la Valeur militaire (deux citations)
- Croix du combattant
- Médaille coloniale avec agrafes « Maroc », « Afrique française libre », « Fezzan », « Tunisie » et « Extrême-Orient »
- Presidential Unit Citation (États-Unis)
- Ordre du Service distingué (Grande-Bretagne)
- Grand officier de l'ordre du Nichan el Anouar
- Commandeur avec plaque de l'ordre de l'Étoile noire du Bénin
- Grand commandeur de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne
Notes et références
- « Jacques Massu », sur Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le )
- Paul Aussaresses, Pour La France – Services Spéciaux 1942-1954, Paris, Rocher, .
- Éditions Julliard, 1962.
- Georgette Elgey, Histoire de la IVe République, dl 2018 (ISBN 978-2-221-14569-2, 2-221-14569-0 et 978-2-221-19036-4, OCLC 1057483540, lire en ligne)
- Roger Trinquier, La Guerre moderne, Paris, La Table ronde, .
- Paul Aussaresses, Services spéciaux, Algérie 1955-1957, Perrin, , 196 p. (ISBN 2-262-01761-1).
- Jean Planchais et Florence Beaugé, « Jacques Massu le général repenti », Le Monde, (lire en ligne).
- https://www.ina.fr/video/CAF91002232 entretien de 1971, il justifie l'usage de la torture en disant que cela n'en était pas vraiment
- « Interview Massu », sur Ina.fr, Institut national de l'audiovisuel, (consulté le ).
- « Maurice Audin exécuté sur ordre du général Massu », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
- « Massu, J », sur Encyclopédie Universalis.
- Jean Planchais et Florence Beaugé, « Jacques Massu, le général repenti », Le Monde, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- François-Georges Maugarlone, Histoire personnelle de la Cinquième République (1958-2008), Paris, Fayard, , 344 p. (ISBN 978-2-213-64139-3, lire en ligne), p. 7.
- Suzanne Massu, Quand j'étais Rochambelle (ISBN 2246141729 et 9782246141723).
Dans la fiction
Dans la mini-série De Gaulle, l'éclat et le secret (2020), son rôle est interprété par François Chattot.
Voir aussi
Bibliographie
- Portrait du lieutenant Henri Leclerc de Hauteclocque, Ass. des anciens de la 2e DB, Paris, 1969.
- La Vraie Bataille d'Alger, Plon, Évreux, 1971.
- Le Torrent et la Digue, Plon, Paris, 1972.
- Sept ans avec Leclerc, Plon, Paris, 1974.
- La Vérité sur Suez : 1956, Plon, Paris, 1978.
- L'Aventure Viêt-minh, Plon, Paris, 1980.
- Baden 68 : souvenirs d'une fidélité gaulliste, Plon, Paris, 1983.
- Joseph Valynseele et Denis Grando, « Le général Massu », dans À la découverte de leurs racines, t. I, L'Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, .
- Massu, le soldat méconnu, Paris, 1993.
- Avec de Gaulle, Éditions du Rocher, Paris, 1998.
- Pierre Pélissier, Massu, Perrin biographie, Paris, 2018, 478 pages (ISBN 978-2-262-07514-9)
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