Carolus-Duran
Directeur de l'Académie de France à Rome (d) | |
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Naissance | |
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Décès |
(à 79 ans)
14e arrondissement de Paris |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Charles Auguste Émile Durant
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Nationalité | |
Formation | |
Activité | |
Conjoint |
Pauline Croizette
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Membre de |
Ligue de la patrie française
Académie des beaux-arts Société japonaise du Jinglar |
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Maîtres |
François Souchon, Jean-Baptiste Cadet de Beaupré
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Élève |
John Singer Sargent, Ralph Wormeley Curtis, Maximilien Luce, Paul Helleu, Robert Alan Mowbray Stevenson, Ernest Ange Duez, Georges Ferdinand Bigot, Theodore Robinson, Ramon Casas, Francine Charderon
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Genre artistique | |
Influencé par | |
Distinction |
Carolus-Duran, pseudonyme de Charles Auguste Émile Durant[1], né le à Lille et mort le à Paris (14e arrondissement), est un peintre et sculpteur français.
Parfois qualifié de « peintre mondain », il est l'un des portraitistes les plus appréciés de la haute société de la Troisième République.
Biographie
Charles Auguste Émile Durant naît le à Lille[2].
Fils d'aubergiste, Charles Duran apprend le dessin auprès du sculpteur Jean-Baptiste Cadet de Beaupré[3] à l'Académie de Lille, puis étudie pendant deux ans la peinture auprès de François Souchon, lui-même élève de Jacques-Louis David. Il arrive à Paris en 1853 et prend alors le pseudonyme de « Carolus-Duran ». Il suit les cours de l'Académie Suisse de 1859 à 1861. Il est influencé au début de sa carrière par le réalisme de Gustave Courbet, qu'il rencontre à cette époque, et se lie d'amitié avec Édouard Manet, Henri Fantin-Latour, Félix Bracquemond et Zacharie Astruc. C'est aussi en 1859 qu'il expose pour la première fois au Salon.
De 1862 à 1866, il voyage à Rome grâce à une bourse d'étude de sa ville natale. Au Salon de 1866, il obtient une médaille[4] avec Les Assassinés, acquise 5 000 francs par l'État pour le musée de Lille. Cette somme d'argent lui permet de voyager en Espagne, où il restera trois ans pour copier les grands maîtres, notamment Velázquez[5]. Son style en est transformé : il délaisse l'influence de Courbet pour celle du maître espagnol, dont il sera avec Manet un des plus fervents admirateurs.
En 1867, il fait également partie des neuf membres de la Société japonaise du Jinglar avec notamment Henri Fantin-Latour, Félix Bracquemond et Marc-Louis Solon, qui se réunissaient mensuellement à Sèvres pour un dîner à la japonaise.
En , il épouse Pauline Croizette[6], pastelliste et miniaturiste, qui pose pour La Dame au gant en 1869 (Paris, musée d'Orsay). Ils auront trois enfants, deux filles et un garçon. Leur aînée Marie-Anne épousera plus tard Georges Feydeau.
À partir de 1870, à la suite de la renommée de La Dame au gant, il se consacre principalement aux portraits. Son succès lui permet d'ouvrir un atelier à Paris au 81, boulevard du Montparnasse (proche de son domicile du 58, rue Notre-Dame-des-Champs), où il enseigne la peinture en prenant Vélasquez comme référence. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1872 et il est promu officier en 1878, commandeur en 1889 et grand officier en 1900.
De 1889 à 1900, il est membre du jury de chaque Exposition universelle. Il est cofondateur de la Société nationale des beaux-arts en 1890. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1904. Bien que n'ayant jamais obtenu le prix de Rome et du fait de l'absence de candidat, il est nommé directeur de l'Académie de France à Rome en 1905, poste qu'il occupe jusqu'en 1913[7]. Il est nommé Rosati d'honneur en 1892[8].
Sa fille Marianne Carolus-Duran épouse Georges Feydeau, connu comme dramaturge et collectionneur d'œuvres des impressionnistes, et des Nabis[9].
Carolus-Duran fréquente la station balnéaire de Saint-Aygulf, où il possède une villa familiale. La station balnéaire possède deux toiles données par Carolus-Duran et conservées dans la chapelle[10], le Christ en croix et La Mise au Tombeau du Christ (1882). La station balnéaire a dédié une place et une plage au nom de l'artiste.
Carolus-Duran meurt le à Paris[11]. Ses obsèques se déroulent à l'église Notre-Dame-des-Champs à Paris et il est inhumé dans le caveau familial à Fréjus[12].
L'atelier
L'atelier de Carolus-Duran compte en moyenne vingt-cinq étudiants, dont les deux tiers sont anglais ou américains, parmi lesquels : Frank O'Meara, John Singer Sargent, Ralph Wormeley Curtis, Maximilien Luce, Ramon Casas, James Carroll Beckwith, Hamilton Minchin, Will Hicok Low, Paul Helleu, Robert Alan Mowbray Stevenson, Theodore Robinson et Ernest Ange Duez.
John Singer Sargent a lancé sa propre carrière en exposant le portrait de son maître. En haut, il a ajouté une inscription rendant hommage à son professeur et se décrivant comme un "élève affectueux". Sur son revers, Carolus-Duran y porte l'épinglette rouge de la Légion d'honneur française, décernée pour sa contribution aux arts[13].
Réception critique
Alors que la peinture française était en pleine évolution avec les impressionnistes et leurs disciples, il a souvent été reproché à Carolus-Duran, notamment par Camille Pissarro[14], de ne pas utiliser sa technique et son talent évidents de façon plus aventureuse et de ne se consacrer qu'à des portraits, certes rémunérateurs, mais conventionnels.
Émile Zola écrit : « Seulement Carolus-Duran est un adroit ; il rend Manet compréhensible au bourgeois, il s'en inspire seulement jusqu'à des limites connues, en l'assaisonnant au goût du public. Ajoutez que c'est un technicien fort habile, sachant plaire à la majorité[15]. »
Carolus-Duran, ami de Degas et de Manet[16], a su naviguer entre l'académisme d'un Cabanel et de ses disciples, et l'expérimentation de ses contemporains plus hardis. Il a su insuffler à ses portraits un naturel et une vie qui les font sortir du lot[17].
Œuvre
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Portrait d'Oulevay et Fantin-Latour (1861), Paris, musée d'Orsay.
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Le Baiser (1868), palais des Beaux-Arts de Lille. Autoportrait de l'artiste avec sa femme en nouveaux mariés.
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Portrait de Marie Rattazzi (1872), musée royal des Beaux-Arts d'Anvers.
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Portrait équestre de Mademoiselle Croizette (1873), Tourcoing, MUba Eugène Leroy. Sophie Croizette, sœur de Pauline.
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Le Pisan (1874), palais des Beaux-Arts de Lille.
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Mademoiselle de Lancey (1876), Paris, Petit Palais.
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Étude pour Lilia (1887), Washington, National Gallery of Art.
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Couverture de Paris-Noël (1890).
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Marie-Anne Feydeau née Carolus-Duran et ses enfants (1897), Tokyo, musée national de l'Art occidental.
Collections publiques
- Copenhague, Glyptothèque Ny Carlsberg : Portrait d'une petite fille en costume espagnol, 1870, huile sur toile.
- San Francisco, musée des Beaux-Arts : La Fille de l'artiste, 1874, huile sur toile.
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Bordeaux, musée des Beaux-Arts :
- Portrait de Philippe Durand-Dassier, 1876, huile sur toile ;
- Danaé, vers 1900, huile sur toile ;
- Portrait de Charles Gruet, 1914, huile sur toile.
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Cambrai, musée de Cambrai : Portrait en pied de la marquise d'Anforti, 1873, huile sur toile.
- Clermont-Ferrand, musée d'Art Roger-Quilliot : Portrait d'Agénor Bardoux, huile sur toile, dépôt de l'ordre des avocats au barreau de Clermont-Ferrand.
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Dijon :
- musée des Beaux-Arts : Portrait d'Eugène Piron, huile sur toile, 40 × 33 cm.
- musée Magnin : Portrait de femme en robe décolletée, vers 1875, huile sur toile.
- Fréjus, église de Notre-Dame de l'Assomption de Saint-Aygulf, chapelle :
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Lille, palais des Beaux-Arts :
- La Dame en noir, 1859, huile sur toile ;
- Homme endormi, 1861, huile sur toile ;
- L'Assassiné, 1865, huile sur toile ;
- Le Baiser, 1868, huile sur toile ;
- La Dame au chien, 1870, huile sur toile ;
- Hébé, 1874, huile sur toile ;
- Le Pisan, 1874, buste en bronze ;
- Portrait d'Emile de Girardin, 1875, huile sur toile ;
- Portrait de Madame Georges Petit, 1879, huile sur toile ;
- Portrait de Léonard Danel, 1899, huile sur toile ;
- Ma famille, 1902, huile sur toile ;
- Portrait de Jules Denneulin, huile sur toile.
- Épernay,POrtrait de René Gallice, 1888, huile sur toile ; Musée du vin de Champagne et d'Archéologie régionale.
- Louviers, musée de Louviers : Portrait de Frédéric-Joseph Jourdain, huile sur toile.
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Paris :
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musée d'Orsay :
- Le Convalescent, vers 1860, huile sur toile ;
- Portrait de Zacharie Astruc, vers 1860, huile sur toile ;
- Portrait de Fantin-Latour et Oulevay, 1861, huile sur toile ;
- La Dame au gant, 1869, huile sur toile ;
- Emmanuel Lansyer, 1889, huile sur toile.
- palais du Louvre : Le Triomphe de Marie de Médicis, 1878, plafond.
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Petit Palais :
- Mademoiselle de Lancey ou La dame au coussin rouge, 1877, huile sur toile ;
- Portrait de Madame Edgar Stern, 1890, huile sur toile.
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musée d'Orsay :
- Toulon, musée d'Art de Toulon : Femme nue debout, huile sur toile.
- Tourcoing, MUba Eugène Leroy : Au bord de la mer ou Le portrait équestre de Mademoiselle Sophie Croizette en amazone, 1873, huile sur toile.
- Tours , musée des Beaux-Arts : Portrait de Sophie Croizette, huile sur toile.
- Valenciennes, musée des Beaux-Arts : L'Espagnole, 1870, huile sur toile.
- Versailles, musée du château de Versailles : Charles Gounod, 1898, huile sur toile.
- Tokyo, musée national de l'art occidental : Mère et enfant, 1897, huile sur toile.
- Lisbonne, Palais national d'Ajuda : Portrait de Maria Pia de Savoie-Portugal, 1880.
Expositions
En 2003, le palais des Beaux-Arts de Lille et le musée des Augustins de Toulouse lui ont consacré une exposition qui a donné lieu à l'édition d'un catalogue par la Réunion des musées nationaux.
Élèves
- Louise Abbéma (1858-1927)
- Jules-Charles Aviat (1844-1931)
- Théodor Axentowicz (1859-1938)
- Joseph Bail (1862-1921)
- Alice Pike Barney (1857-1931)
- William Gerard Barry (1864-1941)
- Harry Becker (en) (1865-1928)
- James Carroll Beckwith (1852-1917)
- Gabriel Biessy (1854-1935)
- Georges Ferdinand Bigot (1860-1927)
- Élisée Bourde (1859-1935)
- Alexandre Jean-Baptiste Brun (1853-1941)
- James Cadenhead (en) (1858-1927)
- Karl Cartier (1855-1925)
- Ramon Casas (1866-1932)
- Jean-Louis Charbonnel (1848-1885)
- Francine Charderon (1961-1928)
- James Coutts-Michie (1859-1919)
- Kenyon Cox (1856-1919)
- Henri-Edmond Cross (1856-1910)
- Ralph Wormeley Curtis (1854-1922)
- Dawson Dawson-Watson (en) (1864-1939)
- Henri Delavallée (1862-1943)
- Herbert Denman (en) (1855-1903)
- Henry Detmold (en) (1854-1924)
- Charles Melville Dewey (1849-1937)
- Henri Patrice Dillon (1850-1909)
- Thomas Millie Dow (en) (1848-1919)
- Ernest Ange Duez (1843-1896)
- Mary Fairchild (1858-1946)
- Georges Feydeau (1862-1921)
- Fanny Fleury (1846-1923)
- Frank Fowler (en) (1852-1910)
- Norman Garstin (en) (1847-1926)
- Thérèse Glaesener-Hartmann (en) (1858-1923)
- Eleanor Greatorex (en) (1854-1917)
- Lovell Birge Harrison (1854-1929)
- Paul César Helleu (1859-1927)
- Alexis Marie Lahaye (1850-1914)
- Lucy Lee-Robbins (1865-1943)
- Maurice Lobre
- John Henry Lorimer (en) (1856-1936)
- Will H. Low (1853-1932)
- Maximilien Luce (1858-1941)
- Hamilton Minchin (1875-1931)
- Maud Naftel (en) (1856-1890)
- Burr H. Nicholls (en) (1848-1915)
- Anna Nordgren (en) (1847-1916)
- Erastus Dow Palmer (en) (1817-1904)
- Walter Launt Palmer (1854-1932)
- William Learned Marcy Pendleton (en) (1865-1947)
- Louis Maurice Pierrey (1854-1912)
- Émile Renouf (1845-1894)
- Gustave Riquet (1866-1938)
- Theodore Robinson (1852-1896)
- Ottilie Roederstein (1859-1937)
- Amédée Rosier (1831-1898)
- John Singer Sargent(1856-1925)
- Émile Schuffenecker (1851-1934)
- Amanda Brewster Sewell (en) (1859-1926)
- Louis Serendat de Belzim (1854-1933)
- Robert Alan Mowbray Stevenson (1847-1900)
- Mary Elizabeth Tillinghast (en) (1845-1912)
- Henry van de Velde (1863-1957)
- Marianne von Eschenburg (de) (1856-1937)
- Lionel Walden (1861-1933)
- Iekaterina Zaroudnaïa-Kovas (1861-1917)
Notes et références
- Et non « Durand », comme cela est rappelé dans son acte de mariage : Tables décennales entre 1833 et 1842 – naissances à Lille (vue 417/1014), Archives départementales du Nord en ligne, tables décennales entre 1833 et 1842, Lille, naissances.
- Acte de naissance no 1373 (vue 672/960). Archives départementales du Nord en ligne, état-civil de la Ville de Lille, registre des naissances de 1837.
- RKD, Augustin-Phidias Cadet de Beaupré.
- « Un artiste à réévaluer : Carolus-Duran » sur le site Art Nouveau et Jugendstil. Courants artistiques et littéraires de 1880 à 1920, avril 2012
- (es) « Matias Moreno Gonzalez », sur Le Prado (consulté le )
- Acte de mariage no 26 (vue 14/31). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 16e arrondissement, registre des mariages de 1868. Zacharie Astruc figure parmi les témoins.
- « Charles Émile Auguste Durand dit Carolus-Duran », sur Villa Medici (consulté le )
- Liste des Rosati d'honneur depuis 1892, Archives de Fontenay-aux-Roses.
- (en) « Madame Feydeau », sur Musée de l'art Occidental, Tokyo (consulté en )
- Intégrée à l'église de Notre-Dame-de-l'Assomption.
- Acte de décès no 901 (vue 24/31). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 14e arrondissement, registre des décès de 1917.
- « Les obsèques de Carolus-Duran », Le Petit Parisien, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « Carolus-Duran », sur Clark Art Museum (consulté le )
- Camille Pissarro, 1830-1903, Hayward Gallery, Galeries nationales du Grand Palais, 1980, p. 9 : « Mais rappelle-toi donc Bastien-Lepage ! et Carolus Duran!!! Eh bien non, ce n'est pas de l'art. » — Camille Pissarro à son fils Lucien, 1884.
- Citation de Zola sur le site de Les Cahiers naturalistes.
- Pierre Sérié, « Carolus-Duran », sur francearchives.fr.
- Philippe Landru, Carolus-Duran (Charles Durand : 1837-1917), 2011.
Annexes
Bibliographie
- Dictionnaire Bénézit.
- Collectif, Carolus-Duran, 1837-1917, Réunion des musées nationaux, 2003 (ISBN 2711845532).
Liens externes
-
Ressources relatives aux beaux-arts :
- AGORHA
- Bridgeman Art Library
- Musée d'Orsay
- Musée des beaux-arts du Canada
- (en) Art UK
- (de + en) Artists of the World Online
- (en) Bénézit
- (en) British Museum
- (en) Grove Art Online
- (da + en) Kunstindeks Danmark
- (es + en) Musée du Prado
- (en) National Gallery of Art
- (nl + en) RKDartists
- (en) Smithsonian American Art Museum
- (en) Union List of Artist Names
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- WorldCat
- (en) « Carolus-Duran » sur Artcyclopedia.
- (en) Galerie de portraits et étude sur Carolus-Duran et John Singer Sargent sur jssgallery.org.
Médias utilisés sur cette page
Buste colossal d'Antinoüs provenant de la villa Adriana, près de Tivoli.
Portrait de Mevrouw de Rute, née Marie Laetitia Bonaparte-Wyse par Carolus-Duran, conservé au musée royal des Beaux-Arts d'Anvers
Litho LE BAISER - ACADÉMISME SCENE GALANTE. Dimensions totales 30 x 22cm
Carolus Duran [Charles Auguste Émile Duran (1837-1917)], Series: Galerie Contemporaine. Woodburytype photograph mounted on a page from the Galerie Contemporaine.
Henri Oulevay et Fantin-Latour
Jules Claretie )* 3. Dezember 1840; † 23. Dezember 1913), französischer Schriftsteller
Auteur/Créateur: FoeNyx, Licence: CC BY-SA 3.0
Blason de la commune de Lille, dans le département du Nord, en France Blasonnement : « De gueules à la fleur de lys florencée d'argent » (depuis 1199)
Auteur/Créateur: Carolus-Duran , Licence: CC BY-SA 4.0
Le Pisan au Palais des beaux-arts de Lille.
Portrait de Mme Carolus-Duran, née Pauline Croizette.