Université Paris-Descartes
Fondation | |
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Dissolution |
31 décembre 2019
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Type | |
Forme juridique | |
Président |
Frédéric Dardel
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Membre de | |
Site web |
Étudiants |
38 900[3]
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Enseignants |
2 180[3]
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Chercheurs |
1 300[3]
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Budget |
229 millions d'euros (2016)[2]
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Ville | |
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Pays |
(c) Eric Gaba, Wikimedia Commons user Sting, CC BY-SA 3.0
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L’université Paris-Descartes — dont le nom officiel est Paris-V[4] — était une université française créée en 1971. Elle était l'une des treize universités parisiennes[5], héritières de l'université de Paris et de la Sorbonne. Elle est pluridisciplinaire et fait partie de la communauté d'universités et établissements (Comue) université Sorbonne-Paris-Cité. Elle se définit comme « l’université des sciences de l'homme et de la santé[3] ». L'université a fusionné le avec l'université Paris-Diderot et l'Institut de physique du globe pour donner naissance à Université de Paris[6]. L'université, son ancien président Frédéric Dardel et deux employés sont mis en examen après la révélation par L'Express du dysfonctionnement de son Centre de don des corps.
Historique
Après Mai 68, la loi sur l'enseignement supérieur « Faure » réorganise le système universitaire français. L'université de Paris est découpée et l’université Paris-V est créée au [1]. L’université est créée par le professeur Jean Frézal, président de la conférence des présidents d'université, à partir d'anciennes facultés de l’université de Paris ; elle a notamment gardé le musée d'histoire de la médecine[réf. nécessaire]. Elle a d'abord pris le nom d'usage « Paris-V-René-Descartes », par décision de son assemblée constituante à sa création, puis « Paris Descartes » depuis 2006[7].
En 2010, les universités Paris-III « Sorbonne-Nouvelle », Paris-V et Paris-VII « Paris-Diderot » se regroupent au sein de l’Université Sorbonne Paris Cité[8], et décident en 2017 d’une fusion prévue pour le [9]. L'université Paris-Descartes devrait cesser de fonctionner en autonomie à partir du .
Liste des présidents
- Jean Frézal, de 1971 à 1976.
- Florian Delbarre, de 1976 à 1981.
- Louis Auquier, de 1981 à 1989.
- Georges Cremer, de 1989 à 1994.
- Pierre Villard, de 1994 au .
- Pierre Daumard, du à 2004.
- Jean-François Dhainaut, de 2004 à .
- Bruno Varet, administrateur provisoire de juillet à .
- Axel Kahn, du au .
- Frédéric Dardel, du au .
Composantes
Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, Paris-Descartes se découpe en plusieurs composantes. On trouve d’une part les unités de formation et de recherche (UFR) et d’autre part les « instituts et écoles ». Ainsi, l’université est structurée de la manière suivante[N 1] :
- institut de psychologie ;
- faculté sciences humaines et sociales ;
- faculté de droit, économie et gestion ;
- faculté de médecine ;
- faculté de chirurgie dentaire ;
- faculté des sciences pharmaceutiques et biologiques ;
- UFR biomédicale des Saints-Pères ;
- UFR de mathématiques et informatique ;
- UFR de sciences et techniques des activités physiques et sportives ;
- institut universitaire de technologie.
Lieux d'implantation
L'université Paris-Descartes dispose de plusieurs sites à Paris et en agglomération parisienne :
- à Paris :
- dans le 6e arrondissement :
- 12, rue de l'École-de-Médecine, le centre administratif et historique est implanté dans les bâtiments du collège de chirurgie construits à l'emplacement de l'ancien collège de Bourgogne,
- 15, rue de l'École-de-Médecine, siège de la faculté de médecine,
- 45, rue des Saints-Pères, sur l'ancien emplacement de l'hospice de la Charité pour les études de sciences biomédicales, de sciences humaines et de mathématiques,
- 4, avenue de l'Observatoire, pour la faculté des sciences pharmaceutiques et biologiques,
- dans le 14e arrondissement :
- 24, rue du Faubourg-Saint-Jacques, dit site Cochin, pour une partie des études de médecine,
- dans le 15e arrondissement :
- 1, rue Lacretelle, pour les sciences et techniques des activités physiques et sportives,
- 156, rue de Vaugirard, pour une partie des études de médecine. Ce site est actuellement en travaux,
- dans le 16e arrondissement :
- 143, avenue de Versailles, pour les IUT (cf. institut universitaire de technologie Paris Descartes) ;
- dans le 6e arrondissement :
- à Boulogne-Billancourt :
- 71, avenue Édouard-Vaillant, au centre Henri-Piéron aménagé dans l'ancien siège social de l'aluminier Carnaud pour les études de psychologie ;
- À Malakoff :
- 10, avenue Pierre-Larousse, pour les études de droit et de sciences économiques et de gestion ;
- à Montrouge :
- 1, rue Maurice Arnoux, pour les études d’odontologie.
Enseignement et recherche
Formation
L'université Paris-Descartes propose plus de quatre cents formations diplômantes ou qualifiantes ouvertes en formation initiale et en formation continue.
L'ouverture internationale et européenne est fréquemment mise en avant (master Erasmus Mundus) au même titre que les formations innovantes dans le domaine de la recherche (licence « Frontières du Vivant »[10]) et en sciences humaines.
Des partenariats nationaux (master Economics and Psychology (Dual Master of Science in English) en partenariat avec l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et le Cogmaster en partenariat avec l'ENS) témoignent de l'aspect novateur et du souhait de l'université Paris-Descartes d'augmenter sa visibilité au niveau européen et international tout en proposant de nouvelles formations pluridisciplinaires de haute qualité.
Relation internationales
Recherche
- Centre de recherche interdisciplinaire
- Institut Cochin
- Institut Droit et Santé
Écoles doctorales Paris-Descartes
L'université Paris-Descartes rassemble six écoles doctorales, représentant diverses thématiques de recherche :
- génétique, cellule, immunologie, infectiologie, développement (GC2ID) ;
- sciences humaines et sociales : cultures, individus, sociétés (Olivier Martin, directeur) ;
cognition, comportement, conduites humaines (3CH) ;
- sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion ;
médicament, toxicologie, chimie, environnement (MTCE) ;
- interdisciplinaire européenne frontières du vivant (IEFV) (François Taddei, directeur).
Elle dispose aussi d'écoles doctorales cohabilitées avec l'université Pierre-et-Marie-Curie, l'université Paris VII - Diderot et l'université Paris-Sud.
Scientométrie
En 2009, l’université se situe dans les places 152 à 200 au classement de Shangai (les universités ne sont pas départagées à ce rang), ce qui correspond aux places 6 et 7 des établissements français[11]. Elle est classée 364e au classement généraliste du Times Higher Education Supplement[12], 211e du classement Life Sciences & Biomedicine[13].
Bibliothèques
Le service commun de la documentation de l'université Paris-Descartes regroupe dix bibliothèques. La bibliothèque Henri-Piéron et la bibliothèque de sciences humaines et sociales Paris Descartes-CNRS font référence au niveau national dans les domaines, respectivement, de la psychologie et de la sociologie.
La bibliothèque interuniversitaire de santé (BIU santé) regroupe, depuis le ,la bibliothèque interuniversitaire de médecine et d'odontologie (BIUM) et la bibliothèque interuniversitaire de pharmacie (BIUP), les deux sites restant toutefois distincts. Elles sont interuniversitaires mais administrativement rattachées à Paris-Descartes.
Vie étudiante
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Dans la culture populaire
Le film Banlieue 13 Ultimatum (2009) a été tourné dans le hall, sur le site de Malakoff.
Le film français La Crème de la crème (2014) a été tourné dans l'université[26], dans l'amphithéâtre Janet, sur le site de Malakoff.
Le film français Première année a été tourné dans l'université, sur le site des saints-pères.
Affaire du Centre de don des corps
Révélations
Le , le magazine d'actualité français L'Express révèle les conditions de conservation indignes de corps et d'organes humains confiés au Centre de don des corps (CDC) de l'université[27],[28]. Des parties de cadavres étaient vendues à des organismes privés, contrairement aux règles éthiques en la matière[29]. La ministre de la Recherche Frédérique Vidal (dont le conseiller Frédéric Dardel présidait Paris-Descartes de 2011 à 2019) annonce la fermeture du centre[30] et l’ouverture d’une inspection conjointe avec l’IGAS. Une enquête pénale pour « atteinte à l'intégrité de cadavres » est ouverte par le pôle santé publique du parquet de Paris et confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP)[31]. En , vingt-quatre familles avaient porté plainte[32], début juillet 2020 elles étaient 72[33], fin , 82[34], début , 111[35] ; elles se regroupent dans l'association « Charnier Descartes justice et dignité »[36]. Un cambriolage nocturne en [37] entraîne la disparition potentielle[36] de documents administratifs ; l'université dépose une plainte « pour vol et intrusion du système informatique »[36].
L'Express révèle également que Guy Vallancien, directeur du centre entre 2004 et 2014, a créé en 2001 une société privée, l'école européenne de chirurgie, qui faisait indirectement commerce de ces corps[38]. Olivier Gagey, ancien professeur d’anatomie au sein de Paris Descartes, avait dénoncé ce conflit d'intérêt sans succès en 2004 auprès de l’Ordre des médecins et de l’académie de médecine[39].
En , la cellule investigation de Radio France publie les documents démontrant que les alertes lancées depuis au moins 2012 et concernant de graves dysfonctionnements du CDC ont été ignorées[40], y compris par Frédéric Dardel, Gérard Friedlander (le doyen de la faculté de médecine) et Antoine Tesnière (actuel vice-président de l’université et également conseiller ministériel « coronavirus »)[41]. Un document de 2012 pointe le problème de tabagisme et l'alcoolisme du personnel travaillant au CDC, au point qu'un mégot a été retrouvé dans les viscères d'un cadavre ; des corps séropositifs au VIH ou à l'hépatite B et C ont été mis à disposition d'étudiants en chirurgie, les mettant en danger. Des alertes envoyées entre 2015 et 2018 décrivent une situation de « barbarie », avec des corps entassés et grignotés par les rongeurs dans des chambres froides éteintes[40]. Selon des témoignages recueillis par les journalistes de Radio France, des crânes et des squelettes humains auraient aussi été vendus sous le manteau à des collectionneurs de curiosités macabres[42].
Le , le magazine Paris Match diffuse des photographies suggérant que le charnier existait déjà en 1988[43],[44].
Une enquête diffusée le sur France 2 dévoile que des corps ont été cédés à des industriels automobiles pour être utilisés lors de crash-tests ou à l'armée pour des expérimentations militaires, dans le cadre d'une contractualisation privée, sans que les familles en aient été informées[45].
Conséquences judiciaires
Le , l'IGAS publie une synthèse de son rapport[46],[47], dont les conclusions sont sévères[36]. La mission évoque les alertes « très régulières et très concrètes (présence de rongeurs, corps en décomposition, « charnier » dans la chambre froide négative où s’accumulent les têtes…) » qui ont été « parfois entendues, mais jamais à la hauteur de ce qu’elles portaient »[47]. Selon elle, « la responsabilité de l’université est établie », au plan collectif plutôt qu'au plan individuel[47]. Contrairement à la demande des familles, Frédérique Vidal ne rend pas le rapport public[48],[36] mais elle le transmet au parquet de Paris[36] et démet de ses fonctions l’un de ses principaux conseillers et ex-président de Paris-Descartes, Frédéric Dardel[36]. Une information judiciaire est ouverte le [33].
Un ancien préparateur en anatomie CDC est perquisitionné et placé en garde à vue le , puis mis en examen et placé sous contrôle judiciaire le pour « atteinte à l’intégrité d’un cadavre »[35]. 170 proches de défunts ont porté plainte[35]. Frédéric Dardel est entendu, le , sous le régime de la garde à vue[35]. La demande de l’Université de Paris de se constituer partie civile a été refusée par la justice[35] ; elle est mise en examen en du chef « d’atteinte à l’intégrité d’un cadavre »[49], de même que deux préparateurs[50] et l'ancien président de l'Université Frédéric Dardel le [51].
Conséquences juridiques
En réaction à cette affaire, de nombreux professionnels demandent une réforme de cette pratique[52]. Un amendement proposé par Caroline Fiat (LFI), voté en seconde délibération et contre l'avis du gouvernement, ajoute au projet de loi bioéthique que « les établissements de santé, de formation ou de recherche s’engagent à apporter respect et dignité aux corps qui leur sont confiés. »[53].
Personnalités liées à l'université
Enseignants
- Dominique Antoine, conseiller-maitre à la Cour des comptes.
- Alain Bentolila, linguiste.
- Patrick Berche, bactériologiste.
- Éric Canal-Forgues, juriste.
- Alain Carpentier[54], cardiologue, prix Albert-Lasker.
- Pierre-Henri Castel, philosophe et psychologue.
- Pascal Chaigneau, juriste, spécialiste de sciences politiques.
- Frédéric Dardel, biologiste moléculaire.
- Erwan Dianteill, ethnologue.
- Alberto Eiguer, institut de psychologie[55]
- Alain Fischer, pédiatre et immunologue, Japan prize.
- Axel Kahn, généticien, membre du conseil d'administration de la CPU et ancien président de l'université.
- Jean-Jacques Lefrère, hématologue, directeur de l'INTS.
- Henri Lôo, PU-PH au centre hospitalier Sainte-Anne, rédacteur en chef de la revue L'Encéphale.
- Jean-Pierre Machelon, juriste.
- Michel Maffesoli, sociologue.
- Daniel Mansuy, membre de l'Académie des sciences.
- Olivier Martin, sociologue.
- André Martinet, linguiste.
- Hervé Morin, homme politique.
- Jean-Pierre Olié, PU-PH, chef de service au SHU du centre hospitalier Sainte-Anne, président de la fondation Pierre-Deniker.
- Dominique Pouyaud, juriste.
- Rebecca Rogers, historienne de l'éducation.
- Frédéric Rouvillois, juriste et écrivain.
- Olivier Schwartz, sociologue.
- François de Singly, sociologue.
- Bruno Varet, hématologue.
- Georges Vigarello, historien, directeur d'études cumulant à l'École des hautes études en sciences sociales.
- Yves Charles Zarka, philosophie.
Étudiants
- Jean-Pierre Bouchard, psychologue et criminologue.
- Olivier Brandicourt, médecin et dirigeant d'entreprises français, président-directeur général de Bayer Santé puis directeur général de Sanofi.
- Nouria Benghabrit-Remaoun, ministre de l'Éducation nationale en Algérie.
- François Fillon[56], Premier ministre français de 2007 à 2012.
- Pierre Le Blavec, professeur, pédagogue, éditorialiste et historien.
- Catherine Mégret, femme politique.
- Sandra Navidi, juriste et cheffe d'entreprise.
- Pascale Trinquet, pharmacienne, championne olympique d'escrime.
- Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, psychologue clinicienne et anthropologue.
- Julienne Anoko, socio-anthropologue camerounaise puis espagnole.
Notes et références
Notes
- Les différentes « facultés » sont bien des UFR d’un point de vue juridique.
Références
- Décret no 70-1174 du 17 décembre 1970 portant érection en établissements publics à caractères scientifique et culturel d’universités et centres universitaires.
- « Répartition des moyens 2016 aux opérateurs de l'enseignement supérieur du programme 150 – DGESIP B2-2, CNESER du 17 décembre 2015, en euros » [PDF], L'Étudiant.
- « L'université » (consulté le ).
- Article D711-1 du code de l’éducation
- Décret no 2000-250 du portant classification d’établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel.
- « Université Paris 2019 », Site officiel.
- Délibération du conseil d'administration de l'université du .
- Décret no 2010-143 du 10 février 2010 portant création de l'Établissement public de coopération scientifique « Sorbonne Paris Cité » et Décret no 2014-1680 du 30 décembre 2014 portant approbation des statuts de la communauté d'universités et établissements « Université Sorbonne Paris Cité ».
- Camille Stromboni, « Le projet de fusion de trois universités parisiennes est lancé », Le Monde, .
- Baptiste Bouthier, « Faire de la recherche dès la première année d'université, une expérience pour réconcilier les jeunes et la science », Le Monde, (lire en ligne).
- (en) « Academic Ranking of World Universities - 2009 - France », sur www.arwu.org
- Classement généraliste du THES.
- Classement Life Sciences & Biomedicine du THES.
- Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161 (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159 (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010.
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- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010.
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- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175 (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010.
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- Rémi Dupré et Camille Stromboni, « Nouvelles zones d’ombre autour du scandale des cadavres de Paris-Descartes », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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- « L’affaire du « charnier de Descartes » remonterait jusqu’en 1988, selon des photos exhumées par « Paris Match » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
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- Paris Match, « Scandale du don des corps : le rapport Igas rendu… mais pas publié », sur parismatch.com, (consulté le )
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- « Affaire du « charnier de Descartes » : « Je comprends que ce soit choquant, mais on n’avait pas le choix » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Don de corps à la science : Frédéric Dardel, l’ancien président de l’université Paris-Descartes, mis en examen », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- un collectif, « Don du corps : l’indispensable réforme », sur Libération (consulté le )
- « A l’Assemblée nationale, comment une « seconde délibération » a fait adopter un amendement de La France insoumise », Les cuisines de l’Assemblée, (lire en ligne, consulté le )
- Sylvestre Huet, « Alain Carpentier élu président de l'Académie des sciences », blogue Libération, , consulté le .
- Anne-Laure Gannac, entretien avec Alberto Eiguer, « Ce que notre maison dit de nous », sur psychologies.com, Psychologies Magazine, (consulté le ).
- « Le CV de François Fillon »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Challenges, (consulté le ).
Annexes
Articles connexes
- Système éducatif français > Études supérieures en France > Université en France
Liens externes
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